Ce qui m'interpelle, c'est la différence d'analyse entre les politiques, l'Assemblée parlementaire, du Conseil de l'Europe notamment, et les techniciens du droit qui, eux, nous ont dit que ça marchait plutôt bien. Ce n'était pas par pure politesse, parce que nous sommes allés au fond des choses sans langue de bois. L'Agence apporte au Conseil et aux services du commissaire aux droits de l'homme une technicité qu'ils ne peuvent pas se payer et permet au Conseil d'avancer dans ses constats et ses recommandations.