Monsieur le garde des sceaux, depuis le début de la discussion du présent projet de loi, nous ne cessons d'avancer nos arguments, certes sur une base de recul mais, comme vous le savez, nous ne fléchissons jamais, surtout lorsque nous sommes habités par la conviction d'avoir raison face à une démarche liberticide, ce qui est bizarre venant de vous. Il faut croire que l'on vous a convaincu de couvrir n'importe quoi, même l'indéfendable !