Le seul regret que je pourrais avoir personnellement, le seul reproche que je pourrais lui adresser, c'est son silence assourdissant et son absence lors de l'affaire d'Outreau. Je l'ai vécue, vous le savez, et douloureusement, parce que c'était tout de même un échec de la justice : nous n'avons pas entendu le Défenseur des enfants.
Demain, avec les pouvoirs qu'aura le Défenseur des droits, le Défenseur des enfants aura la possibilité d'apporter sa pierre à une contribution législative, ce que précisément il n'a pas fait dans la commission parlementaire relative à l'affaire d'Outreau.