L'une des raisons majeures de la crise tient à ce que les banques ont pu, par le biais de la titrisation, se défausser en partie des risques qu'elles prenaient. Les obliger à conserver 5 % des crédits dans leurs comptes est-il suffisant ?
D'autre part, parmi les propositions de la Commission figure l'harmonisation de l'assiette de l'impôt sur les sociétés. Pourriez-vous nous en dire plus sur ce volet important de l'harmonisation fiscale ?