La liberté de circulation des biens et des personnes repose sur pas moins de 1 600 textes. C'est beaucoup. A vouloir être trop normatif, ne perd-on pas de vue l'objectif premier ? D'autre part, le marché impose souvent un choix entre la compétitivité des entreprises et la protection des droits collectifs, ceux du consommateur ou la protection de l'environnement. Comment résoudre ce dilemme ?