Monsieur le président, cette séance relève du théâtre d'opérette : il ne s'agit pas d'un débat sur la poste mais sur l'avenir de M. Bailly comme président de La Poste, et ce alors même que mes collègues de la majorité reconnaissent eux-mêmes qu'ils ne reviendront pas sur le choix du Président de la République. Nous sommes une chambre d'enregistrement.