Au nom des 256 000 victimes d'atteintes à l'intégrité physique, nous vous demandons de modifier, par des amendements du Gouvernement à ce projet de loi, les orientations et la programmation pour la sécurité intérieure. Car nous, nous ne choisissons pas entre le désordre et l'injustice : nous considérons que l'ordre va avec la justice. Nous ne choisissons ni Goethe ni Péguy ;…