Bien tardivement, M. le Premier ministre vous a recadré, mais, pour vous, ce dérapage – qui n'en était pas un, puisque vous l'avez assumé à quatre reprises – n'était qu'une manière d'aller encore un peu plus loin sur les terres du Front national et de commencer la campagne de M. Sarkozy pour 2012. Vous n'avez pas honoré votre gouvernement, vous n'avez pas honoré la France et la démocratie le jour où vous avez fait ces déclarations. (Applaudissements sur les bancs des groupes GDR et SRC.)