Il s'agit de deux remarques importantes qui ont fait l'objet de questions de la part des rapporteurs. Nous n'avons pas reçu beaucoup de réponses satisfaisantes.
Le service de santé des armées ne suit pas ses jeunes retraités et c'est regrettable.
Quant à la question posée par la féminisation, la direction centrale du service de santé des armées nous a paru plus ouverte que l'état-major des armées à l'idée d'affectations personnalisées. Nous nourrissons donc un espoir à ce sujet. Il est certain que les bases de défense peuvent être un moyen de gérer intelligemment la féminisation du service de santé des armées et, plus globalement, des armées.