Nous l'avons mentionné dans le rapport, les soins de suite aux personnes blessées, très gravement ou non, ne sont pas assurés par le service de santé lui-même. L'Institution nationale des Invalides n'abrite aujourd'hui qu'un ou deux militaires très gravement atteints. Une fois sortis de la phase critique, la plupart des blessés poursuivent leur rééducation dans des structures civiles adaptées à leur pathologie. Les Britanniques au contraire disposent d'une structure dédiée aux soins de suite.