Monsieur Perruchot, je vous trouve un peu injuste et un peu sévère, sévère par rapport à la doctrine que nous avons définie dans la loi de finances, par rapport aux mesures proposées, que, pour ma part, je trouve évidemment équilibrées puisque j'ai rendu les arbitrages, et un peu sévère aussi parce que vous ne tenez pas compte du fait que nous ayons supprimé les avantages fiscaux des entreprises qui achètent des 4x4. Je crois que nous sommes tout de même allés suffisamment loin pour montrer notre volonté de refroidir le dispositif.