Cet accord est plutôt un acte politique qu'une convention de coopération militaire, avec, pour objectif, de renforcer l'Etat libanais. Vous avez indiqué que le texte ne prévoyait pas d'intervention française dans les affaires intérieures du Liban, ni dans d'éventuelles crises internationales impliquant le pays. Pourtant, l'article 3 de la convention prévoit la possibilité de mettre en place des opérations préventives et curatives.