La Russie a proposé de vendre des avions au Liban, mais cette proposition n'a pas eu de traduction concrète pour le moment. Le Royaume-Uni, pour sa part, entretient quelques navires.
La réaction syrienne à ces conventions, qui est évidemment la plus attendue, n'a pas été négative. Chacun réalise que le meilleur moyen d'aider l'Etat libanais est de le doter d'une armée à même d'accomplir les prérogatives régaliennes qui sont les siennes.