On peut légitimement s'inquiéter de l'issue du sommet de Cancún devant le refus de certains pays de voir la communauté internationale s'immiscer dans leurs affaires internes, la méfiance manifestée quant à l'utilisation des crédits d'émission, et le regain du climato-scepticisme aux États-Unis. Cette idéologie s'étend-elle dans le monde et peut-elle avoir une incidence sur le résultat des négociations ?