C'est en effet l'esprit dans lequel nous avons tous travaillé.
Le développement durable est l'un de nos quatre moteurs, je n'y reviens donc pas. Nous sommes hostiles au principe de précaution parce que nous pensons qu'il est paralysant, mais les mesures d'encadrement proposées par Philippe Tourtelier et Alain Gest dans leur rapport vont dans le bon sens.
Nous n'avons pas évoqué les inégalités entre les hommes et les femmes ; peut-être est-ce une erreur. Même si le problème n'est pas nouveau, il doit être pris en considération, notamment en ce qui concerne les retraites.
Quant au taux de pauvreté, je rappelle qu'il est en France l'un des plus bas d'Europe. Passer de 13 % à 10 % représente déjà un effort considérable.
Nous ne sommes pas revenus sur les questions d'urbanisme commercial, sinon pour recommander d'en finir avec tous les régimes d'exception.
La réduction du temps de travail correspond à une longue tendance historique. Nous n'imaginons pas que l'on puisse la remettre en cause.
S'agissant de la formation des enseignants, nous proposons d'améliorer celle des enseignants de maternelle – comme nous l'avions déjà fait, sans succès, dans notre premier rapport. Nous préconisons par ailleurs de renforcer la formation continue.