Nous sommes tous intervenus en faveur du développement de l'hydroélectricité. Le Gouvernement actuel n'est, pas plus que le précédent, suspect de mauvaises intentions. Le ministre précédemment chargé de l'énergie, Jean-Louis Borloo, a lui-même annoncé en 2009, du haut du barrage de Génissiat – un ouvrage bâti sous la présidence du général de Gaulle – un renouvellement de l'hydroélectricité à hauteur de trois térawattheures.
Nous connaissons bien la teneur de l'amendement déposé par nos collègues socialistes, et si nous avions voulu le déposer, nous l'aurions fait ! Pour notre part, nous avons préféré placer le ministre devant ses responsabilités. Sa réaction a consisté à proposer de nous soumettre le projet d'arrêté : qu'aurait-il pu dire de plus ?