Mon Général, vous avez été pour beaucoup le symbole de la résistance libanaise contre l'occupation syrienne. Depuis votre retour au Liban, vous avez fait certains choix politiques qui vous font apparaître comme pro-syrien, voire pro-iranien. Qu'en est-il exactement ?
Vous vous étiez par ailleurs ardemment investi dans la lutte contre la drogue. Où en est le Liban dans ce domaine ?