Selon vous, la conception musulmane du pouvoir politique ne constitue-t-elle pas un frein à la participation des chrétiens à l'exercice de ce pouvoir ?
Le général Aoun vient de nous faire part de sa conception du rôle que les chrétiens devraient jouer au Liban, rôle qui apparaît plus culturel que politique. Qu'est-ce que les non-chrétiens pensent de cette conception ?
Le long déclin des chrétiens d'Orient n'est-il pas aussi la conséquence de facteurs démographiques et économiques ?
La récente intervention du pape en faveur du respect des chrétiens d'Orient a-t-elle eu un écho dans la région ? Cette dernière connaît-elle un phénomène de conversion des chrétiens, comparable à ce qui s'est passé dans l'histoire ? En d'autres termes, ce choix est-il perçu comme une alternative au départ ?