Cette question m'étonne, monsieur de Courson. Je dis simplement que nous poursuivrons cet après-midi l'examen du projet de loi de finances. Certaines demandes faites, que j'ai entendues, me semblent légitimes. Je vais faire en sorte qu'elles deviennent réalité à l'issue de la discussion.
Vous comprendrez que je ne puisse en dire plus. Je fournirai les efforts nécessaires pour qu'il soit fait droit à la demande.