Pour notre part, nous avons assumé la vérité du débat alors que, trop souvent, l'opposition a préféré les caricatures, les faux-semblants et le dénigrement.
La vérité, c'est que la décentralisation n'est la propriété d'aucun camp politique ; c'est le bien commun de la République. Tenter d'en corriger les faiblesses, ce n'est pas faire le procès de la décentralisation, c'est, au contraire, lui donner un nouveau souffle.