Le deuxième point, c'est de bien comprendre ce que nous devons faire, les uns et les autres – vous êtes vous-même rapporteur spécial du budget de la santé – pour être plus efficaces en matière de pharmacovigilance. Voilà le principal enjeu.
Monsieur le député, juste un point : la France n'est pas le dernier pays qui ait interdit le Mediator. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) La France a décidé de le suspendre, en saisissant l'Agence du médicament au niveau européen ; c'est ensuite que le Portugal a pris sa décision. Mais là n'est pas le coeur du sujet.
Le coeur du sujet, et ce qui sera la mission de l'IGAS, le voilà : je veux savoir comment nous pouvons renforcer la pharmacovigilance à partir de ce que l'on appelle les signaux faibles ou très faibles.