La réforme du code du travail est un grand chantier, avec, à la clé, un potentiel de pouvoir d'achat autrement plus important que celui gagné grâce aux mesurettes proposées dans ce texte. Mais pour cela, monsieur Emmanuelli, il faut en finir avec ce regard suspicieux jeté sur le chef d'entreprise, exploiteur et fraudeur en puissance.