M. Gosnat regrette que nous n'en soyons qu'à une première étape de ce progrès démocratique. La prochaine sera que le Parlement approuve la désignation, au lieu d'avoir seulement la possibilité de la refuser à une majorité qualifiée – cette question avait déjà fait débat lors de la révision constitutionnelle. En attendant, nous comptons bien nous servir de ce début de progrès qu'a obtenu la majorité.