Ce texte apporte en effet une mauvaise réponse à une vraie question. La solution se trouve dans le programme ambitieux de construction et de modernisation actuellement en cours, qui doit s'inscrire dans la durée. Et peut-être faut-il, comme l'ont dit certains collègues, des établissements plus différenciés.
Quant à la liberté conditionnelle, sans doute faut-il user de divers instruments pour la développer, mais la solution consistant à la rendre quasi-automatique à l'issue des deux tiers de la peine heurte le principe de l'examen au cas par cas.
Laissons vivre la loi de 2009, dont l'encre est à peine sèche… Et n'ouvrons pas trop vite la cage aux oiseaux !