Cet observatoire se voit crédité d'un million d'euros de crédits de fonctionnement. En effet, nous avons besoin de davantage de transparence sur les marges et la formation des prix. La répartition de la valeur ajoutée doit être plus équitable au profit des producteurs qui sont, de nos jours, trop souvent la variable d'ajustement.
Avec un plan de soutien de plus d'un milliard à l'agriculture ainsi que des plans stratégiques de développement des filières, ceux-ci affirment la volonté gouvernementale d'être aux côtés des agriculteurs français.