Il n'y a aucune commune mesure entre la dissuasion nucléaire que nous devons conserver – et que l'OTAN entend conserver tant qu'existera une menace nucléaire – et la défense anti-missiles qui agira par prévention.
Telle est, monsieur le député, la stratégie de la France telle qu'elle sera défendue ; pour ce qui est du débat, pourquoi ne le proposez-vous pas ? Nous pourrions l'accepter.