Je partage donc les craintes de nos collègues. Ne touchons à rien ! À deux heures moins le quart, en fin de discussion budgétaire, ne donnons pas un grand coup de pied dans ce qui existe pour des chimères ! La dépense budgétaire ? Dans l'état actuel de nos finances et dans l'état actuel de la mentalité qui sévit parfois ici à l'égard des outre-mer, je n'y crois pas. C'est pourquoi, personnellement, et je prie mon ami Bartolone de m'en excuser, je ne voterai pas cet amendement qui me semble trop dangereux.