Je souhaiterais que vous vous attardiez sur le sujet de la mortalité des abeilles et autres apoïdes sauvages. Il existe un lourd passé entre la filière apicole et les institutions – entendues au sens large. Les relations avec le centre de recherches de Sophia-Antipolis n'ont pas toujours été sereines. Ferez-vous table rase de ce passé ? Quelles relations envisagez-vous aujourd'hui avec le monde apicole ? Tisserez-vous des liens avec le futur Institut technique apicole, dont nous attendons beaucoup ? Confronterez-vous vos études à celles conduites par ailleurs au niveau européen et international, le problème étant désormais mondial ?