J'ai bien entendu votre réponse, madame la secrétaire d'État, et j'attire votre attention sur le fait que c'est un véritable appel au secours qui est lancé aujourd'hui par les professionnels de santé. Ceux-ci se trouvent dans un flou absolu quant au devenir d'une fraction importante de leurs revenus – 40 % – une fois qu'ils auront mis fin à leur exercice. J'étais favorable aux amendements de M. Jacquat et de M. Bur et si je comprends vos motivations, je veux tout de même insister sur l'urgence à apporter une véritable réponse à tous ceux qui sont très inquiets pour leur retraite future et ont besoin de lisibilité.