Je vous remercie de me donner la parole, monsieur le président. Les sujets sur lesquels j'avais vocation à intervenir étant épuisés, je vais vous quitter avec regret. (« Oh non ! » et sourires sur les bancs du groupe UMP.)
Avant de partir, je voulais remercier les acteurs de ce débat. J'ai beaucoup apprécié le respect mutuel qui a prévalu tout au long de la discussion et je me félicite des avancées constructives auxquelles nous sommes parvenus. Mes remerciements vont d'abord à la présidence, tout particulièrement à vous, monsieur Leroy, qui avez dirigé ces débats avec brio, ainsi qu'à Pierre Méhaignerie, président de la commission des affaires sociales, qui s'est montré, comme à son habitude, un inspirateur remarquable, à nos rapporteurs Jean-Pierre Door, Yves Bur, Denis Jacquat et Bérengère Poletti – je n'oublierai pas le débat particulièrement riche que nous avons eu sur les maisons de naissance.
Je remercie également les principaux orateurs des groupes, à commencer par Guy Lefrand et Philippe Vitel, pour le soutien sans faille qu'ils m'ont apporté de la part du groupe UMP. J'aurais voulu remercier Jean-Luc Préel, mais je crois qu'il est parti. Quelle déception !