Mais, monsieur le rapporteur, vous n'êtes pas une jeune femme – personne n'est pas parfait. (Sourires.) La seconde raison, c'est la difficulté à renoncer à cette modélisation. Il y a un aspect culturel.
Il faut donc sans doute changer de paradigme dans les grandes campagnes de santé publique et raisonner en termes de « niches ».