Les arguments sont les mêmes, monsieur le président.
J'entends des ricanements du côté du groupe GDR. Je viens d'entendre le mot MEDEF. C'est très déplaisant. Vous devriez peut-être, chers collègues, puisque vous êtes dans la concertation permanente, vous rapprocher des syndicats dont vous parlez si souvent. Il s'agit là de salariés extrêmement modestes. Le fait est qu'on en est à traquer les avantages fiscaux des employés de la parfumerie ! Il n'y a pas de quoi rire, et le MEDEF n'a rien à voir là-dedans.
(L'amendement n° 640 , repoussé par la commission et le Gouvernement, n'est pas adopté.)