En commission, j'ai voté cet amendement, pour plusieurs raisons, au premier rang desquelles des raisons de santé publique, auxquelles s'ajoutent des raisons personnelles, extraprofessionnelles.
Je n'ai aucun état d'âme vis-à-vis de l'industrie du tabac. J'ai écouté le ministre. Il s'est engagé sur une prochaine augmentation du prix du tabac, de l'ordre de 6 ou 7 %, et a promis une réflexion sur le sujet. Je ne voterai donc pas l'amendement défendu par Yves Bur, même s'il me paraît aller dans le bon sens. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)