Il serait alors possible de s'attaquer aux vrais problèmes auxquels est confrontée notre économie – je regrette que nous n'en débattions pas ici –, d'abord à celui de la création de richesses. Cette création de richesses ne se décrète pas plus par les heures supplémentaires que l'on ne pourrait décréter la création d'emplois si l'on devait encore baisser la durée du travail.
Il faut au contraire engager une véritable révolution culturelle. Contrairement à ce qu'a dit le Président de la République, ce n'est pas avec les dents que se gagnera le point de croissance qui nous manque, mais avec le cerveau, c'est-à-dire en investissant dans la matière grise, en encourageant la qualification et la connaissance,…