Cet amendement vise à réduire les allégements de cotisations sociales dont bénéficie le travail à temps partiel, qui est parfois, voire souvent, subi. Nous souhaitons moraliser les contrats d'embauche et décourager les employeurs qui abusent du temps partiel, en pénalisant davantage le temps partiel subi que le temps plein.
(L'amendement n° 224 , repoussé par la commission et le Gouvernement, n'est pas adopté.)