Pourquoi un tel passage ? Parce que les stock-options étaient évidemment des rémunérations correspondant à une philosophie de la croissance de la valeur de l'action, alors qu'aujourd'hui nous sommes devant des marchés boursiers plutôt stagnants, voire déclinants. On préfère dès lors prendre tout de suite ce qui est prenable au prix fixé. Ces dirigeants qui versaient des stock-options distribuent maintenant des actions parce qu'ils ne croient même pas à l'avenir de leur entreprise.
On est loin, là encore, des prétendus stimuli au nom desquels vous voudriez justifier un dispositif économiquement et moralement insoutenable. (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC et GDR.)