Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la santé et des sports :
Bien entendu, il y aura un fléchage à ce niveau et ce que l'on prendra pour la santé ne sera pas consacré à l'éducation, au logement ou à d'autres postes de dépenses au moins aussi importants pour améliorer l'état de santé de nos concitoyens.