La gauche a choisi d'étouffer les voix de la raison.
La voix de Dominique Strauss-Kahn a vite été oubliée. Certains sont même allés jusqu'à dire que le rapport du FMI qui proposait d'aller jusqu'à soixante-deux ans n'engageait pas son président, laissant croire que le FMI décidait sans Dominique Strauss-Kahn. (Applaudissements sur quelques bancs du groupe UMP.)