Monsieur le président, monsieur le ministre du travail, de la solidarité et de la fonction publique, monsieur le ministre chargé des relations avec le Parlement, M. Tron n'est plus là. Décidément, l'insulte et le mépris auront été de mise jusqu'au bout, dans ce débat. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC . – Protestations sur les bancs du groupe UMP.)
Je tiens à dire que les attaques insultantes qu'il a proférées à l'encontre de notre collègue Colette Langlade s'adressaient en fait à tous les socialistes, et tous les socialistes se sont sentis concernés par ces attaques inacceptables. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)
Au fond, cela se situe bien dans la logique de ce que vous avez fait et dit depuis l'ouverture de ce débat.