Tout cela pour finir par un épisode parlementaire qui marquera – hélas ! – l'histoire de la présidence de M. Accoyer. Ce coup de force n'était pas seulement un coup porté à la représentation nationale et au fonctionnement régulier des pouvoirs publics ; il était aussi et avant tout un mauvais coup porté à cette démocratie sociale que le Premier ministre avait pourtant inscrite au coeur de son discours de politique générale et qui, à l'image du Gouvernement, finit en charpie.