Votre troisième argument ne portait plus sur la démographie – vous vous êtes montrés bien confus en la matière –, ni sur un nécessaire courage – on n'a guère vu où il se trouvait –, mais sur la crise, botte secrète du discours gouvernemental.
S'il y a la crise – ce que personne ne peut nier – pourquoi répondre par des mesures démographiques à un déséquilibre économique et financier ? Les Français le comprennent fort bien : votre raisonnement, auquel vous vouliez prêter la forme de l'évidence, manque en réalité de toute cohérence et résiste au bon sens.
Quel est le résultat de votre attitude ?