Vous devriez dès lors avoir l'honnêteté d'avouer que vous avez fait le choix du court terme, de sauter par-dessus l'élection présidentielle et que votre message ne s'adresse pas aux Français et aux générations futures mais bien aux marchés de 2010, aux agences de notation et, peut-être l'espérez-vous, à vos électeurs.