Vous avez coupé la parole aux députés.
Au Sénat, vous avez imposé la procédure du vote unique, c'est-à-dire que, là encore, vous avez interrompu le processus démocratique. Pourquoi donc dire aux Français qu'ils ne doivent pas manifester puisqu'au sein même des deux assemblées vous avez fait en sorte que la parole ne soit ni libre ni complète ?
Franchement, monsieur le ministre, monsieur le président de la commission des affaires sociales, ce ne sont pas vos comptes d'apothicaire sur le nombre d'heures de débat, quelques dizaines,…