La lecture des conclusions nous donne raison. Le ministre du travail, M. Woerth, le Président de la République et la Fédération des assurances exultent dans un même élan : l'économie générale pas plus que les grands équilibres du texte n'ont bougé d'un iota.
Notre démocratie parlementaire ne sort pas grandie de cette douloureuse expérience d'autoritarisme nauséabond, de cette réforme menée depuis le début à la bombarde…