Nous ne pouvons pas subir de telles évolutions de taux de change qui nuisent à nos exportations. Comment le Canada ou la Suède, au début des années 90, confrontés à des crises financières paroxystiques, ont-ils rééquilibré leurs comptes ? Force est de constater qu'ils ont procédé à des dévaluations.
Avec l'euro, nous n'avons pas cette possibilité, mais je veux vous faire part, chers collègues, et en particulier à vous, monsieur Myard, d'une certitude : si nous n'avions pas eu l'euro,…