Je vais abréger, monsieur le président.
Le marché français est trop petit. Si nous ne parvenons pas à soutenir la distribution audiovisuelle à l'extérieur, nous sommes condamnés à limiter les moyens de financement de la création française. À défaut d'exporter, nous n'atteindrons jamais la taille de nos concurrents et il y a des risques de délocalisation.