Sans vouloir donner l'impression d'emboîter le pas au président de la commission des finances pour le contredire, je tiens à préciser qu'il ne s'agit pas de sujets de même nature. La question des retraites chapeaux est une chose, celle des stock-options en est une autre. Ces dernières, il ne faut pas l'oublier, sont susceptibles de nourrir la compétitivité de nos entreprises en leur permettant d'attirer les meilleurs sujets.