Il s'agit de salariés d'entreprises nationalisées qui ont été privatisés. Lors de la privatisation, ce type de retraite leur a été garanti en échange de l'abandon de la garantie du secteur public. La parole de l'État doit être respectée, mais cet amendement est sans conséquence pour eux.
Je souscris également aux remarques de Nicolas Perruchot. Au moins deux noms me viennent à l'esprit et on peut les citer sans faire de délation puisqu'ils sont connus de tous : Dexia et Alcatel-Lucent.
La personne qui présidait aux destinées de Dexia avec le succès que l'on sait est partie avec une retraite chapeau.