Monsieur le ministre, il y a deux terrains bien distincts : celui de la qualification juridique du préjudice moral, qui est l'affaire du juge, je vous l'accorde ; celui de la fiscalisation, qui relève de notre responsabilité.
À cet égard, au-delà d'un certain montant, je conçois parfaitement que nous estimions que l'indemnité doit être fiscalisée. C'est de notre responsabilité, non de celle du juge.
Je souhaite donc que cette question soit vraiment étudiée d'ici la fin de l'examen de la seconde partie.