Vous ne faisiez qu'énoncer ce que vous aviez vous-même écrit dans ce texte, puisque l'augmentation des prélèvements obligatoires est de deux points sur l'ensemble de la période.
En 2012, le taux déficit devra être ramené de 6 % à 4,6 % du PIB. Comment faire en l'absence de mesures exceptionnelles ? Faudra-il tailler encore davantage dans la dépense – faire un effort deux fois plus important que celui consenti en 2011 – ou augmenter encore davantage la recette ?
Votre loi programmation se fonde sur une hypothèse de croissance annuelle de 2,5 % pour 2012, 2013 et 2014. Je veux croire au sérieux de cette projection, mais si, par malheur, elle n'atteignait que 1,7 %...